« Dessin contre Nature » de Philippe Comar – Une nouvelle occasion de voir l’exposition éponyme, Musée-museum des Hautes-Alpes, à Gap, du 20 mai au 31 décembre 2018

La Sambac vous signale une nouvelle exposition de Philippe Comar susceptible de vous intéresser, si vous passez par Gap, cet été :
du 20 mai au 31 décembre 2018,
exposition de quelque deux cent cinquante dessins de Philippe Comar 

« DESSIN contre NATURE »

Musée-museum départemental des Hautes-Alpes,
6 av. du Maréchal Foch – 05000 GAP

Pour mémoire : Philippe Comar est venu  à Caen, le samedi 27 janvier 2018, pour donner une conférence au musée, « Le corps anatomisé », dans le cadre d’un cycle des Samedis de l’art

Pour en savoir plus et obtenir le programme du musée de Gap, puis un aperçu de cette exposition (COMMUNIQUE-DE-PRESSE-PHILIPPE-COMAR-DESSIN-CONTRE-NATURE-JADIS-DEJA-MAI-2018.pdf) : 
Allez donc voir ici

DESSIN contre NATURE est aussi le titre d’un très bel ouvrage publié aux éditions Tohu-Bohu, que nous vous avions déjà présenté suite à sa venue au musée : 
Il est paru aux, Tohu-Bohu Éditions, Paris, 2018. Prix : 35€. 
Rendez-vous sur le site de l’éditeur : https://www.tohubohu.paris/dessins-contre-nature/
Sans être strictement le catalogue des expositions de la Villa Tamaris de La Seyne-sur-mer et du musée de Gap, ce livre rassemble l’œuvre dessiné de Philippe Comar : il est illustré de 286 œuvres commentées et de nombreux hors-textes, qui rendent compte du travail continu de ce plasticien, commissaire de plusieurs expositions (Orsay, Beaubourg, énsb-a de Paris, Biennale de Venise, Musée Picasso de Barcelone, etc.) qui ont retenu dès les premiers temps l’attention des amateurs d’arts graphiques et des questionneurs du regard et du dess(e)in sur le corps, la nature et les objets. 

L’éditeur présente l’ouvrage de Philippe Comar en ces termes : 
« Le dessin pratiqué par Philippe Comar semble, à première vue, appartenir au genre classique. Mais vite, quelque chose en trop vient troubler et déranger la surface tranquille des choses, des êtres, du monde. Ce monumental et insistant travail du regard nous plonge en effet dans une multiplicité de points de vue quelque peu effrayante et peu facile à classer.
Ce long, lent et quasi anonyme travail chemine en effet à contre-courant de toute mode esthétique, ce qui fait sa force, sa séduction. »

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